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L’assemblée générale annuelle de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor aura lieu le vendredi 23 juin 2023 à 14 h 30 (accueil dès 14 h), auditorium Le Grand Léjon, au Palais des Congrès de Saint-Brieuc.
« Au-delà de l’assemblée générale, temps fort pour notre association, c’est aussi le moment privilégié pour faire un point d’étape et de mettre à voir nos ambitions pour l’avenir, présente Christian Vincent, président de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor. Dans la droite ligne de notre projet associatif validé l’an dernier, nous allons porter nos travaux sur un certain nombre d’axes et au premier chef, celui de la réforme des statuts. »
« Pour assurer une continuité de nos valeurs, il est indispensable de sécuriser le mouvement parental tout en tenant compte des enjeux de la société d’aujourd’hui. Cette concrétisation doit nous donner un nouvel élan pour faire encore plus ensemble. »
L’ordre du jour :
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter le secrétariat du siège social de l’association (tél. 02 96 62 66 77).
Consulter les rapports 2022 en cliquant ici L'Eveil AG 2023
Dans un monde de plus en plus digital, le livre reste un objet précieux et la technique de rembordage est aujourd’hui couramment utilisée pour la reliure d’ouvrages de toutes sortes.
Dans les Côtes d’Armor, l’atelier esatco site du pays de Tréguier propose cette prestation à ses clients pour des petites et moyennes séries (moins de 500 exemplaires). Équipé de machines de rembordage semi-automatiques performantes, il réalise un travail de qualité pour appliquer des couvertures sur des livres, des agendas, calendriers, blocs-notes et bien d’autres produits imprimés par son partenaire local, Roudenn Grafik.
A l’ESAT de Tréguier, le rembordage est assuré par les personnes en situation de handicap qui, à travers cette activité, développent leur autonomie et leurs compétences professionnelles.
Pour plus d’informations, contactez l’équipe de professionnels d’esatco Tréguier : tél. 02 96 92 41 77 ; e-mail : accueil.treguier@esatco22.fr
La Nuit du Handicap propose au public de venir rencontrer les talents artistiques, culturels, sportifs des personnes en situation de handicap. Pour la première fois, l’évènement est organisé dans les Côtes d'Armor. Rendez-vous le samedi 10 juin, place Duguesclin, à Saint-Brieuc.
Chaque année, au mois de juin, une grande soirée joyeuse et conviviale, est organisée sur les places publiques des villes et des villages de France, avec la participation de nombreux partenaires associatifs du domaine du handicap. Le but ? Faciliter la rencontre entre les personnes en situation de handicap et celles qui ne le sont pas, briser les clichés, révéler les talents et faire évoluer le regard porté sur le handicap.
A Saint-Brieuc, le public est invité à se rendre sur la place Duguesclin, à partir de 16h, pour suivre un programme qui s’étirera jusqu’à minuit. De 16h à 18h, une kermesse gratuite sera organisée avec des stands de pêche à la ligne, Chamboule tout et autres châteaux gonflables. En parallèle, des ateliers de sensibilisation seront proposés. De manière ludique et pédagogique, les participants expérimenteront certaines situations que vivent de personnes malentendantes, les personnes dys et en fauteuil manuel. Ils devront relever certains défis. De 16h à 21h30, des représentations musicales animeront la place (lire le programme ci-dessous).
Des déambulations seront proposées dans la rue Saint-Guillaume pour inviter les personnes à participer à cet événement convivial, participatif et festif et créer du lien entre la place Duguesclin et la place Glais-Bizoin où se situe l’exposition photos « Handicap visible et invisible ».
Julie Douarin, marraine de la première édition
Pour cette grande première, Julie Douarin a accepté d’être la marraine de l’événement. Avec plus d’un million d’abonnés sur Instagram, la Briochine d’origine a gagné le titre de « première influenceuse de l’immobilier au monde ». Elle porte les valeurs de la Nuit du Handicap. Elle-même atteinte d’un handicap, l’hydrocéphalie, diagnostiquée suite à une agression dans le métro, Julien Douarin a su surmonter les obstacles et réaliser ses rêves.
Demandez le programme !
16h - 16h30 Ouverture avec les mascottes
16h - 16h15 Animation musicale avec Coat’n Roz
16h15 Mot de la marraine Julie Douarin
16h20 - 16h45 Reprise de l’animation musicale avec Coat’n Roz
16h30 - 17h Breaking
16h45 - 17h30 Karaoké
17h - 17h30 Danse bretonne
17h30 - 18h DJ Fanny
18h - 19h15 Musiciens et danse bretonne adaptée, initiation avec le public
19h15 - 20h Danse hip hop et initiation
20h - 20h45 Zumba et initiation
20h45 DJ Fanny
Ouverture du Congrès de l'Unapei par Tess, professionnelle esatco, accueil des participants par les représentants des huit départements du réseau esatco Grand Ouest, exposition des savoir-faire des ESAT et entreprises adaptées, échanges et prises de contact au salon partenaires... Revivez en images l'événement organisé à la Cité des Congrès à Nantes.
A Loudéac, les professionnels esatco et quelques élèves de la Maison familiale rurale ont inauguré un espace de détente qu’ils ont eux-mêmes créé avec des matériaux de récupération.
Le projet avait débuté juste avant la crise Covid. A l’époque, l’objectif était de réunir les professionnels de l’ESAT et du SATRA et les élèves de terminale de la Maison familiale rurale (MFR) afin de réaliser un coin détente extérieur pour les professionnels et le personnel de l’ESAT.
Annulé en raison de la crise sanitaire, ce partenariat a revu le jour dans le cadre du programme scolaire de la MFR dont la mission est de mettre en œuvre des apprentissages en faveur de l’orientation scolaire et professionnelle de ses élèves. Au total, une quinzaine de personnes des deux structures se sont réunies à onze reprises pour mener à bien ce projet.
Pour Gaëlle Aubry, responsable soutien éducatif à esatco Loudéac, « il s’agit d’une collaboration intergénérationnelle entre jeunes et moins jeunes pour plus d'inclusion. »
La perte d’un emploi a fait plonger Fabienne Rouault dans une longue déprime qu’elle n’a pas vu venir. Son passage au chantier d’insertion Artex lui a permis de se relancer. Aujourd’hui, elle revit en travaillant pour le Dispositif enfance de Saint-Brieuc. Elle raconte son histoire.
« Chaque matin, je restais allongée dans mon lit, seule à regarder le plafond pendant des heures et des heures. J’étais complètement perdue. La déprime, on ne s’en aperçoit pas tout de suite. Ça vous grignote, ça vous ronge à petit feu et un jour, on plonge. C’est ce qui m’est arrivée après avoir perdu mon emploi en 2014. Cela faisait 26 ans que j’étais l’assistante dentaire du Docteur Aumont à Saint-Brieuc. A son départ en retraite, il n’y a pas eu de repreneur et je me suis retrouvée au chômage pendant trois ans et demi.
Du jour au lendemain, le grand vide
J’ai eu l’occasion de faire des remplacements avec des contrats à la journée chez des dentistes mutualistes, mais je me suis vite rendu compte que je n’avais pas la capacité d’encaisser des journées de 10 à 11 heures. C’était ingérable pour moi. A ce moment-là, j’étais vraiment très, très mal. Je ne sortais plus de la maison. Les images de mon ancien boulot tournaient en boucle dans ma tête. J’adorais ce métier, je m’entendais très bien avec le dentiste. Notre relation de travail était très respectueuse. Pour moi, la séparation a été brutale. Cela a été dur à avaler. Je côtoyais beaucoup de monde, j’entretenais de bons rapports avec les patients. Et du jour au lendemain, plus rien, le grand vide…
Ma famille n’a pas compris ce qui m’arrivait. J’étais au fond du trou… A tel point que je me suis retrouvée au centre médico-psychologique Benoît Menni à Saint-Brieuc. J’étais tellement en souffrance que j’avais besoin de repos. A ma sortie de ce centre de soins, mon psychiatre m’a parlé du GEM (Groupe d’entraide mutuelle) de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor. J’y suis restée deux ans. Et je peux vous dire que ça m’a fait le plus grand bien, ça m’a apaisé. Puis, le pôle emploi m’a orienté vers le centre d’information du droit des femmes et des familles (CIDFF) où Valérie Renault, conseillère emploi formation, m’a incité à postuler dans les établissements scolaires en tant qu’agent technique d’entretien. Je n’ai eu aucune réponse…
En 2019, je vois une offre d’emploi dans un chantier d’insertion qui collecte et trie du textile. Je visite cet atelier ARTEX qui, au départ, me donne un peu le vertige avec ces tonnes de vêtements à trier… Malgré tout, je m’engage pour un CDDI en décembre 2019. Mes débuts sont un peu difficiles car je n’ai pas le rendement souhaité mais les encadrants me font confiance. L’un d’entre eux, Philippe Royer, me transmet l’amour de son métier. Et je finis par trouver un poste qui me convient à l’essuyage. Il s’agit d’un second tri de tout ce qui essuie et permet d’éponger. Et là, je m’éclate ! Je découvre des pépites destinées à la vente en boutique, à la Boîte à fringues et à Fripes & Co. A travers cette activité, je me sens utile, je reprends confiance et goût au travail. Humainement, l’ambiance est excellente. Je me sens bien entourée, écoutée et protégée. Au fil des semaines, j’oublie la période sombre que j’ai pu traverser.
Heureuse et fière d’aller au travail
Malheureusement, la crise du Covid vient couper cet élan. C’est la période de confinement à la maison. Heureusement, on est très soudé dans l’équipe. On reste en contact, on s’appelle souvent. Cette période dure un mois et demi puis l’activité reprend et je retrouve enfin mon poste, avec beaucoup d’envie et de plaisir. Plus j’avance dans mon travail, plus je m’aperçois que je peux retrouver un emploi. Lorsque mon CDDI de 24 mois se termine, Tifenn Duplenne, conseillère socio-professionnelle à l’atelier Artex, repère une annonce d’agent technique d’entretien au Dispositif enfance de Saint-Brieuc. Je postule et on me propose un stage en immersion sur les deux sites de l’IME et au service PMO (ex-SESSAD). Le 1er février 2022, je signe un CDI à mi-temps. C’est la délivrance !
Sans Artex, je ne m’en serai peut-être pas sortie. Ce passage au chantier d’insertion m’a sauvée. Pour moi, cela a été un formidable tremplin après cinq longues années de déprime. Cela m’a permis de rebondir, de me relancer. Aujourd’hui, je suis sur la bonne voie. Je sais de quoi est fait demain. Chaque jour, quand je me lève, je suis heureuse et fière d’aller au travail. »
Propos recueillis par Loïc Tachon.
C’est l’heure de la répétition générale, l’ultime séance durant laquelle on peaufine, on ajuste, on se donne la réplique, on calcule les jeux de scène pour être dans le bon timing.
Ce jeudi 4 mai, comédiens et chanteurs du SATRA se sont retrouvés dans la grande salle du restaurant Le Grand large à Ploufragan afin de procéder au filage de la pièce de théâtre qu’ils ont eux-mêmes créé sur le thème de la Covid. Cette crise sanitaire qui leur a tant fait peur, qui les a tant angoissés.
Aujourd’hui, ils ont envie d’en rigoler et d’inviter le public à assister à leur représentation sur laquelle ils travaillent depuis de longues semaines. « Tout le monde a adhéré au projet qui a mobilisé près de 30 personnes avec l’aide de Séverine Gouret, danseuse et chorégraphe, indique Laurence Deffin, cheffe de service à esatco site du pays de Saint-Brieuc. C’est une pure création du SATRA avec des comédiens, des chanteurs, mais aussi des musiciens et des danseurs ! »
Pratique. Pièce de théâtre « Pan!que à bord, ça SATRAppe », le jeudi 11 mai à 20 heures, espace culturel Palante, Hillion. Entrée : 5 €. Réservations des places au 02 96 94 12 06 (standard de l’ESAT) ou 02 96 94 74 56 (SATRA).
Après six années passées à l’ESAT de Plouisy, près de Guingamp, Gilbert Riou a signé un CDI en tant que chauffeur de car scolaire. Une belle fierté pour lui et un grand pas vers l’inclusion.
« Je sors du bureau de Monsieur Le Rigoleur, c’est bon ! Je peux commencer le 13 ! » C’était en mars dernier à Guingamp. Sourire aux lèvres, Gilbert Riou annonce à Nathalie Gouzien, sa référente de parcours professionnel, que dès la fin de son stage, il conduira les cars scolaires pour l’entreprise des Cars Rouillard.
Un bonheur sans mesure pour le chauffeur de l’atelier bois de chauffage à l’ESAT de Plouisy qui, sept mois plus tôt, avait émis le souhait d’effectuer un stage dans une entreprise de transport de voyageurs. « Lorsqu'il était militaire, il avait passé tous ses permis et conduisait les cars pour emmener les équipes médicales vers les aéroports et autres bases aériennes avant d'embarquer pour l'étranger. Il avait aussi été routier pour JLG services, une société de transport frigorifique, et il envisageait de travailler à nouveau dans ce domaine », indique Nathalie Gouzien qui a étudié avec lui la possibilité de participer au Duo Day en novembre 2022 et de découvrir une entreprise durant une journée.
Compétences et motivation
Au fil des échanges, Nathalie Gouzien lui demande s’il peut contacter lui-même des transporteurs, ce qu’il fait sans tarder. Quelques jours plus tard, Julien Le Rigoleur, responsable d’exploitation des Cars Rouillard, rappelle Gilbert Riou et accepte de l’accueillir. Un rendez-vous est pris et le professionnel de l’ESAT fait part de son projet au responsable. Celui-ci le soutient et lui indique la formation à suivre pour pouvoir conduire un car scolaire. L’éventualité d’un stage est également évoquée si le Duo Day confirme le projet professionnel de Gilbert Riou (55 ans) qui obtient avec mérite son certificat de qualification de conducteur.
Deux semaines de période de mise en situation en milieu professionnel sont alors organisées. Gilbert Riou se voit confier la conduite de cars scolaires en binôme avec un chauffeur régulier. « Ce stage confirme ses compétences et sa motivation, témoigne Nathalie Gouzien. Il apprécie l’ambiance, il s’adapte aux horaires de travail et n’a qu’un seul souhait, intégrer au plus vite l’entreprise ».
Après presque six ans passés à esatco site du Pays de Guingamp, d’abord aux espaces verts puis au bois de chauffage, Gilbert Riou signe un contrat en CDI avec les Cars Rouillard où il assure désormais le transport des élèves dans le secteur de Châtelaudren. « Je suis rattaché au dépôt de Callac, précise le jeune embauché. Tout se passe bien et l’équipe est très sympathique. Ce métier me plaît. J’ai toujours aimé conduire ! »
Ancien président-adjoint et administrateur de l’Adapei 22, Guy Fonteix s’est éteint à l’âge de 90 ans. Profondément humain et très engagé, il a défendu la cause des personnes en situation de handicap au niveau départemental et régional.
A l’heure du 50e anniversaire de l’Adapei 22 en 2011, Guy Fonteix avait livré un témoignage émouvant sur son « itinéraire de vie », sa carrière d’enseignant puis de formateur, sa rencontre avec son épouse Anne-Yvonne, native de Pordic. Et surtout cette affinité si particulière avec Anne, sa fille polyhandicapée. « Lorsque nous sommes arrivés dans le département en 1991, le soutien de l’Adapei 22 a été très fort, rappelait l’ancien instituteur. L’association a pris conscience que le polyhandicap avait ses exigences… L’accueil, l’entraide, la solidarité des parents et des professionnels nous ont marqués et nous avons été vite adopté par cette grande famille qu’est l’Adapei 22. »
Un humaniste très impliqué
Dès lors, Guy Fonteix s’investit sans compter pour l’association où est accueillie sa fille, à l’image de son parcours au sein de l’Adapei des Deux-Sèvres dont il préside les destinées de 1985 à 1990. « J’avais envie de m’engager de nouveau, de continuer à faire avancer les choses, à imaginer des réponses nouvelles et innovantes. Dans les Côtes d’Armor, j’ai retrouvé les mêmes valeurs que dans mon département d’origine, la même identité associative, la même volonté d’agir ensemble et de se battre pour les personnes que nous accompagnons. »
Administrateur dès 1992 puis membre du bureau, Guy Fonteix est élu président-adjoint de l’Adapei Côtes d’Armor en 2007. Il assure la présidence par intérim de l’association lors de la convalescence de Jean-Yves Herviou. Administrateur du mouvement national Unapei, il prend également des responsabilités au niveau régional en devenant président de l’Urapei Bretagne.
Parallèlement, Guy Fonteix se consacre à la vie de sa commune, Pordic dont il devient le maire de 2001 à 2008. Sous son mandat, les projets de réhabilitation et de modernisation sont nombreux. On lui doit notamment la transformation du foyer logement en Ehpad et la construction du Courtil de l’Ic, un foyer d’accueil médicalisé pour adultes en situation de handicap moteur auquel il tenait tout particulièrement.
La Rospezienne souffle ses 30 bougies le lundi 1er mai. Plus de 400 cyclos sont attendus sur quatre circuits de 50 à 130 km. Les bénéfices seront entièrement reversés à la section parents du Trégor-Goëlo de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor.
« A Rospez, on pédale et on roule pour la bonne cause ! » Comme lors les éditions précédentes, les organisateurs de la Rospezienne gardent le bon braquet, celui d’un rendez-vous solidaire et précieux pour les personnes accompagnées dans les établissements et services de l’Adapei Nouelles qui bénéficient chaque année d’une belle somme de la part de l’Amicale cyclo de Rospez pour ses activités. Une somme qui dépend du nombre d’engagés.
Les cyclos sont donc invités à préparer leur monture à deux roues pour être présents en nombre au départ le lundi 1er mai. Cette année encore, les organisateurs seront présents de bonne heure pour accueillir les cyclotouristes amateurs issus des clubs voisins.
Un cadeau surprise à l'arrivée
Ce sera aussi le 30e anniversaire de ce rendez-vous incontournable du calendrier cyclo, un rassemblement ouvert à tous, y compris aux non licenciés. « À l’issue de cette 30e édition, un cadeau surprise sera remis à chaque participant », précisent les organisateurs qui espèrent battre un record d’affluence.
Le programme : inscriptions ouvertes dès 7 h le lundi 1er mai, à la salle omnisports de Rospez. Quatre parcours au choix : 130 km (départ à 7 h 30), 100 km (8 h), 80 km (8 h 30) et 50 km (9 h). Prix de l’engagement : 7 €. Il donne droit à un café d’accueil avant le départ, à un ravitaillement et une boisson au port de Pontrieux, à un casse-croûte à l’arrivée.