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Les élections professionnelles auront lieu du 6 au 9 mars et en cas de second tour, du 20 au 23 mars. Comme en 2019, chaque salarié pourra élire ses représentants du personnel, via internet. Explications.
Qui vote ?
Les élections professionnelles concernent l'ensemble des salariés de la convention collective 66, ceux de l’entreprise adaptée et les CDD de l’insertion, ayant au moins trois mois d'ancienneté. Chacun peut consulter la liste des candidats de son Comité Social et Économique (CSE), sur le panneau d’affichage de son établissement ou service.
Pour quelles instances ?
Les salariés se préparent à élire les représentants du personnel, titulaires et suppléants, au sein du CSE de leur collège (ouvriers, employés ou cadres) pour une durée de quatre ans.
Quand voter ?
Le premier tour des élections professionnelles aura lieu du lundi 6 mars 2023, à partir de 12 h, jusqu’au jeudi 9 mars à 12 h. En cas de second tour, le vote se tiendra du lundi 20 mars à partir de 9 h, jusqu’à la clôture, le jeudi 23 mars à 12 h.
Comment voter ?
Depuis les élections professionnelles de 2015, les salariés de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor votent par voie électronique. Le service de vote est accessible sur tous les supports (ordinateur, smartphone ou tablette), 24 heures sur 24, à partir d’une simple connexion internet à l’adresse que chaque salarié reçoit par voie postale à son domicile.
Les salariés ont également la possibilité de voter sur leur lieu de travail où un ordinateur ou une tablette est mise à disposition durant les horaires de service. Tout électeur atteint d’une infirmité ou d’une difficulté à appréhender l’outil informatique le mettant dans l’impossibilité de voter peut se faire assister par un électeur de son choix.
L’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor dit NON aux agissements sexistes au travail. A partir du 10 février, elle lance une campagne d’information et de sensibilisation à destination de tous ses salariés.
« Elle est courte ta jupe… T’as rendez-vous avec ton directeur ? » C’est un des messages que vous verrez sur les affiches de la campagne de sensibilisation aux agissements sexistes au travail, mise en place par la direction des ressources humaines de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor. Animée d’un quiz et de vidéos, cette campagne vise à s’informer sur le sexisme et à encourager la prévention de comportements qui sont « prohibés et sanctionnés par la Code du travail. »
A travers cette communication précédée d'une sensibilisation auprès des managers, l’association souhaite rappeler à ses salariés, auteurs ou témoins d’agissements sexistes, qu’ils peuvent réagir face à toute situation. Ils ont également la possibilité de se rapprocher de leur direction et du référent CSE de leur établissement.
Des conséquences sur la santé physique et mentale des salariés
Selon un récent sondage mené par l’INRS (institut national de recherche en santé et sécurité au travail), plus de 40% des femmes ont déjà eu affaire au sexisme dans leur vie professionnelle. Un chiffre qui avoisine les 15% pour les hommes. Les situations les plus souvent mises en avant ? SMS ou e-mails déplacés, remarques dégradantes ou blagues déplacées, gestes non désirés et répétés, chantage,… Pour les personnes interrogées, les manifestations sexistes peuvent avoir des conséquences à long terme sur la santé physique et mentale des salariés, sur leur rapport au travail et également sur leurs trajectoires professionnelles.
Le calendrier de la campagne
10 février : un quiz pour tester vos connaissances.
15 février : découvrez les affiches de la campagne dans vos établissements et services.
21 et 23 février : 4 vidéos à regarder : "Ce n'est pas une blague, ni de la drague !" ; Et tout le monde s'en fout. Le sexisme au travail" ; "Au boulot" ; Les remarques sexistes : France Télévisions casse les clichés".
Face à l’augmentation des cotisations de l’option proposée par Harmonie Mutuelle, l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor sensibilise ses salariés à la nécessité de solliciter le 100% santé et de recourir aux opticiens, dentistes et audioprothésistes du réseau Kalixia. Explications.
C’est l’une des conséquences de la crise sanitaire et de l’augmentation des dépenses de santé. Le régime de l’option de votre mutuelle de santé est à ce jour déficitaire. En mai 2021, Harmonie Mutuelle avait pourtant mis en place un nouveau contrat avec une amélioration des garanties du régime de base et optionnel et une baisse des cotisations, mais la pandémie et le report des dépenses sont venus plomber les comptes du contrat de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor. Résultat : les cotisations des salariés ayant opté pour l’option sont en augmentation à compter du 1er avril 2023…
En cliquant ici, découvrez les chiffres de l’augmentation annuelle de la cotisation de l’option et les nouveaux montants effectifs à compter du 1er avril 2023, date limite pour quitter l’option à titre exceptionnel et dérogatoire (Harmonie Mutuelle communiquera prochainement les modalités par voie postale aux salariés concernés).
100% santé : le reste à charge zéro
Face à cette situation déficitaire et pour se prémunir d’une augmentation du régime de base obligatoire à l’horizon 2024, l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, en concertation avec les membres de la commission mutuelle et les élus du CSE central, a décidé de lancer une campagne de communication et de sensibilisation auprès de ses salariés afin de les informer au mieux sur le panel de prestations possibles pour une meilleure maîtrise des dépenses.
Pour limiter le coût de la mutuelle, l’association fait la promotion du 100% santé qui permet à chaque assuré de n’avoir aucun reste à charge en optique (lunettes de vue), audition (aides auditives) et dentaire (prothèses dentaires).
La réforme 100% Santé impose par exemple à chaque opticien de présenter dans son magasin au minimum 34 montures de lunettes de vue pour adultes (20 pour enfants) ainsi qu’une offre de verres correcteurs avec traitement anti-reflet et un aminci imposé en fonction de la correction.
Avec Harmonie Mutuelle, vous pouvez recourir aux opticiens, dentistes et audioprothésistes du réseau de soins Kalixia. Quel que soit le domaine de santé, vous pourrez bénéficier de nombreux avantages, des réductions sur des soins et équipements coûteux grâce à des tarifs négociés au meilleur prix, des prestations et des services de qualité, respectant une charte éthique de bonnes pratiques. En tant qu’adhérent à Harmonie Mutuelle, vous pouvez consulter la liste des partenaires du réseau Kalixia sur votre espace personnel.
A l’ESAT de Tréguier, un comité de pilotage baptisé « On Kozh de l’Avenir » a été mis en place pour anticiper et préparer le départ à la retraite. Une initiative qui rencontre un réel succès auprès des personnes accompagnées.
En avril dernier, 16 professionnels d’esatco Tréguier ont échangé sur la thématique « De la préparation à l’arrivée de la retraite », en présence des équipes éducatives du SATRA, de la résidence Avel Nevez à Minihy-Tréguier, du foyer de vie Les Nymphéas à Lannion.
Pour se mettre en route vers la retraite, quatre thèmes ont été abordés : les droits et les démarches, le logement, la vie sociale et la santé.
Depuis, en lien avec différents partenaires (esatco Plourivo et Plouisy, Emeraude ID, CLIC de Lannion, CARSAT Bretagne et Icual Bretagne), une deuxième journée axée sur les droits a eu lieu en septembre à Pleumeur-Bodou. Ces rencontres ont permis aux futurs retraités de se préparer à l’arrivée en retraite.
De nouvelles actions sont déjà programmées ! Elles seront coordonnées par Solenne Lozac’h, l’animatrice retraite, salariée du SAVS de Tréguier.
Du changement au siège de l’association. Philippe Estienne quitte ses fonctions de directeur développement qualité et devient directeur stratégie, innovation et patrimoine. Il transmet le flambeau à Jérôme Thouvenin, nommé à la tête du service qualité, hygiène, sécurité et environnement (QHSE). Entretien croisé.
Pourquoi cette réorganisation au siège de l’association ?
Philippe Estienne : Le départ à la retraite de Denis Hamayon (ex-directeur général adjoint) en juin dernier a été l’occasion de repenser les missions de certains cadres du siège de l’association, et en particulier, tout ce qui touche à la qualité, à l’accompagnement et au patrimoine. Nous avons réparti les tâches de travail avec désormais deux directions bien distinctes.
Jérôme Thouvenin : L’activité de nos missions respectives est tellement dense qu’elle ne pouvait être portée par une seule et même personne comme auparavant. La direction générale a souhaité les séparer et les renforcer afin que nous soyons au plus près des professionnels et des personnes accompagnées. Cette réorganisation a permis de remettre à plat les fonctions de chacun et d’apporter de la cohérence dans toutes les actions.
Quelle est la mission de chacun aujourd’hui ?
P. E. : Mon rôle consiste à développer la stratégie de développement de l’association, tout en restant en veille sur l’évolution des modes d’accompagnement, des politiques publiques et de toute l’actualité de notre secteur. Mon travail est d’inscrire l’association dans une démarche de recherche participative et accompagner nos réflexions et évolutions d’une démarche éthique.
J. T. : Ma mission est d’accompagner l’ensemble des professionnels et de mettre en place une organisation favorisant la mise en œuvre du projet associatif. Cela se traduit par le pilotage et l’animation des acteurs clés de la démarche qualité intégrale que sont les managers, les intervenants internes et les préventeurs. A travers une méthodologie du management socio-économique, le travail consiste à garantir la meilleure qualité d’accompagnement pour les personnes. Pour cela, il faut que le fonctionnement soit de qualité ! Le levier, c’est le management des équipes dans les établissements et services. Concrètement, cela passe par le renforcement des comités de pilotage qualité qui, désormais, auront lieu en grand partie sur chacun des sites, au plus près du terrain. Des réunions auxquelles je participerai. Le but est de redonner les clés du pilotage aux directions, d’asseoir les compétences et les champs d’intervention des intervenants internes et des préventeurs.
Quels sont les projets sur lesquels vous allez travailler d’ici fin 2023 ?
P. E. : Les projets à venir sont nombreux. En résumé, il s’agit de mettre en place une formation sur l’autodétermination à destination des quatre piliers du projet associatif (personnes accompagnées, familles/fratries, professionnels et partenaires), accompagner la réalisation d’un site internet ressources pour les personnes accompagnées et leurs aidants, participer à l’élaboration d’un plan de communication interne et externe pour notre projet associatif, accompagner la réalisation d’un plan stratégique avec une déclinaison opérationnelle sur 5 ans, finaliser le plan stratégique de patrimoine et enfin, accompagner l’évolution des projets d’établissements et services lors du 1er semestre 2023.
J. T. : Le premier chantier concerne l’évaluation unique. Depuis mars 2022, le système d’évaluation des établissements médico-sociaux a changé. Nous n’avons plus l’obligation d’une évaluation interne mais l’association souhaite la réaliser en plus de l’évaluation externe réglementaire à effectuer tous les 5 ans. Un référentiel commun sera mis en place, il conditionnera le CPOM et les autorisations d’activité des établissements. Je serai plus particulièrement chargé d’organiser et de gérer le planning de cette évaluation fixée par l’ARS qui débutera en 2023.
Le deuxième chantier est le dossier usager informatisé (DUI). Il convient de se saisir de cet outil pour mettre en place l’harmonisation des grandes étapes des accompagnements et la démarche processus.
Enfin, troisième et dernier grand projet : l’accompagnement au changement. On considère que tous les salariés ont besoin d’outils de management car à un moment donné, ils vont être sur la gestion de projet d’activité ou d’accompagnement du PPA. Ils vont devoir faire du management avec leurs collègues. Mon rôle est donc de mettre en place une organisation favorisante pour bien « outiller » les salariés.
Pour résumer, quelle est la finalité de toutes ces actions ?
P. E. : Toutes les actions ont un but : mettre en synergie le savoir des quatre piliers du projet associatif au service de l’innovation, de l’amélioration et la diversification des prestations proposées aux personnes et de la jouissance de leurs droits. L’ambition de l’association est également de développer le pouvoir d’agir des personnes pour qu’elles puissent prendre toute leur place dans leur environnement en faisant leur propre choix, en prenant des décisions, en étant acteurs de la société.
J. T. : A travers cette démarche et toutes les actions que nous souhaitons mettre en place, il s’agit de proposer aux professionnels un environnement favorable qui vise à renforcer l’implication de tous et à reconnaître leur place dans l’accompagnement des personnes, tout en étant en conformité avec les exigences des politiques publiques et des réglementations en vigueur, en lien avec les valeurs formulées dans le projet associatif. La finalité de toutes ces démarches et l’objectif recherché, c’est la qualité de l’accompagnement ! Pour y parvenir, il est important que nos deux missions se synchronisent avec une plus grande présence sur le terrain.
L’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor a décidé de revaloriser les salaires de quelques 250 professionnels « oubliés du Ségur ». Cette décision validée par le Conseil d’administration a fait l’objet d’un accord d’entreprise signé le 4 octobre avec les partenaires sociaux.
Les mesures nationales du Ségur de la Santé n’étant toujours pas effectives, l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor a décidé d’agir en versant l’indemnité de 238 € bruts (183 € nets par mois) au prorata du temps de travail, à l’ensemble des professionnels de la convention collective CC66 n’ayant pas encore bénéficié des indemnités du Ségur de la Santé, notamment « Laforcade 1 » (novembre 2021) et « Métiers socio-éducatifs » (juillet 2022).
Cette hausse de salaire, appelée indemnité médico-sociale, qui concerne les professionnels en CDI ou CDD, sera visible sur les fiches de paie d’octobre avec effet rétroactif au 1er septembre 2022.
Tous les salariés sur un pied d’égalité
« La gestion saine de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor nous permet aujourd’hui d’envisager cet effort important qui n’est absolument pas compensé financièrement, précisent le directeur général, Frédéric Gloro, et le président, Christian Vincent. Durant ces deux années, nous allons œuvrer collectivement pour optimiser les budgets de l’association. Au cours de l'année 2024, nous ferons un état des lieux pour étudier le devenir de cette extension. »
La décision validée par le Conseil d’administration le 27 septembre dernier a fait l’objet d’un accord d’entreprise qui a été signé le 4 octobre avec les partenaires sociaux, CFDT et SUD Santé Sociaux (photo). « A l’heure de la mise en œuvre du projet associatif, il nous a semblé cohérent d’investir dans nos professionnels, poursuit la direction générale. Les professionnels constituent une grande partie du patrimoine de l’association et à ce titre, il est normal et important que l’ensemble de nos salariés soient sur un pied d’égalité. »
Un avenant à l’accord d’entreprise relatif au fonctionnement des instances du dialogue social et de la représentation des salariés a été signé par la CFDT le 20 juin 2022. Avec à la clé notamment, un nouveau redécoupage du territoire des CSE à l’issue des élections de mars 2023.
Cet avenant a pour objet de préciser les modalités de fonctionnement du dialogue social après l’expérience d’une mandature.
L’avenant fait évoluer le périmètre des 6 CSE. Il précise le rôle et les missions des représentants de proximité et maintient les dispositions associatives plus favorables que la loi a déjà acté dans l’accord d’origine.
L’avenant entrera en vigueur à l'issue des élections professionnelles de 2023.
En savoir plus
Ces derniers mois, des départs à la retraite et des mutations professionnelles ont entraîné la nomination de nouveaux cadres au sein des établissements et services de l’association.
Yann Rouvrais, directeur-adjoint à la MAS de Paimpol
Claire Perottet, cheffe de service à la MAS de Paimpol
Karyn Bardet, directrice esatco site du pays de Paimpol
Anaëlle Chiron, cheffe de service au Dispositif enfance du Trégor (PMO Lannion)
Élisabeth Joncour-Renault, cheffe de service au Dispositif enfance de Saint-Brieuc
Rose-Marie L’Allain, cheffe de service coordination de parcours au Dispositif enfance associatif
Carole Grimeau, cheffe de service au pôle de coordination à Plérin (SAVS Saint-Brieuc, HHC Lamballe)
Céline Petit-Colin, cheffe de service au Dispositif enfance de Loudéac
David Bertrand, chef de projet au service informatique au siège de l’association à Plérin
Jérôme Ferron, responsable infrastructures systèmes réseaux au siège de l’association à Plérin
Valérie Pageot, responsable comptable au siège de l’association à Plérin
De gauche à droite sur la photo : Denis Hamayon (directeur général adjoint), Jérôme Ferron, Valérie Pageot, Anaëlle Chiron, Rose-Marie-L'Allain, Céline Petit-Colin, Élisabeth Joncour-Renault, Carole Grimeau, Karyn Bardet, David Bertrand, Claire Perottet, Yann Rouvrais et Frédéric Gloro (directeur général).
Après deux éditions annulées en raison de la crise sanitaire, la Rospézienne est de retour pour le plus grand bonheur des amateurs de vélo. Quatre cents cyclos sont attendus le dimanche 8 mai 2022 sur les routes du Trégor.
Entre 350 et 400 cyclos sont attendus et invités à avoir le coup de pédale solidaire en roulant pour une noble cause : la Rospezienne. « Les bénéfices de cette concentration cyclo généreuse seront reversés à l’IME de Tréguier, établissement de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, explique Michel Plusquellec, président de l’AC Rospez. En 2019, nous avions accueilli 375 inscrits. Cette année, nous en espérons 400 !»
Les inscriptions seront ouvertes dès 7 h, à la salle des sports, derrière la mairie. Les participants auront le choix entre quatre parcours : 130 km (départ à 7 h 30), 100 km (8 h), 80 km (8 h 30) et 50 km (9 h).
L’engagement est de 7 €. Il comprend un café d’accueil à l’inscription, un ravitaillement au port de Pontrieux (casse-croûte et boisson) et un apéritif à l’arrivée.
Une tombola gratuite sera organisée, dont les prix à gagner sont des vêtements techniques de chez Noret (blousons, maillots et cuissards).
En savoir plus sur www.acrospez.fr
Se déplacer différemment, c’est possible. Organisé dans le cadre de l’opération « A vélo au boulot », le challenge des mobilités vous invite à pédaler en équipe, du 16 au 22 mai, et à comptabiliser tous les kilomètres parcourus pour tenter de remporter ensemble le trophée 2022.
Le challenge « A vélo au boulot » reprend la route du 16 au 22 mai dans les Côtes d’Armor. Objectif : « Montrer que se déplacer différemment est possible ! », rappellent les organisateurs. Le principe est simple : tous les participants (entreprises, établissements publics, associations ou écoles) comptabilisent, au sein de leur propre équipe, les kilomètres parcourus par leurs salariés durant toute une semaine et tentent de gagner ensemble le challenge.
« En pédalant, on s’aère l’esprit et on arrive au boulot bien réveillé, indiquent les membres de la dynamique association organisatrice "Vélo utile", basée à Saint-Brieuc. On lutte contre la sédentarité et on se dégourdit les jambes. Et puis, on franchit rapidement des distances de 5 à 8 km sans s’en rendre compte On va souvent plus vite qu’une automobile en ville et les temps de trajet sont toujours équivalents. »
Renseignements et inscriptions auprès de Delphine Bréant : d.breant@adapei-nouelles.fr ; tél. 02 96 62 66 77.
En savoir plus sur www.a-velo-au-boulot.fr