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Un groupe de huit personnes accompagnées du foyer de vie et du SATRA de Quévert a pédalé 194 kilomètres en quatre jours entre Lamballe et Hennebont. Pari gagné !
Au bout de l’effort, ils ont touché au but avec un large sourire et 194 kilomètres au compteur. A l’arrivée, leurs encadrants ont salué la performance de ce groupe de huit cyclistes, partis de Lamballe le 29 juin et parvenant à rallier l’endroit qu’ils s’étaient fixés après quatre jours de vélo. « Ils se sont surpassés et ont réussi à aller jusqu’au bout, s’est félicité Loïc Baron, le papa de Maxime, qui a pédalé à leurs côtés sur un tracé qu’il a lui-même dessiné, à travers les routes de campagne et les voies vertes. Du tandem au vélo pousseur, tous sont revenus transformés de cette belle aventure humaine où le partage, la vie en groupe et le dépassement de soi ont été des valeurs maîtresses ».
« Cette expérience sportive donne la possibilité aux personnes d’être reconnues et valorisées en lien avec leur projet personnalisé, rappellent les éducateurs de Quévert. Leur implication a été présente tout au long du projet et cela favorise les interactions sociales. Cette aventure collective contribue, une fois de plus, à valoriser sur le territoire, les personnes porteuses de handicap en montrant leur capacité d’adaptation et leur volonté à travers cet exploit. »
A travers le projet baptisé « Le Partag’Tour 22 », les encadrants soulignent « la dynamique et la collaboration entre les parents et les équipes éducatives. En complémentarité, les interactions institutionnelles et partenariales ont permis la concrétisation de ce séjour itinérant. Le soutien et la participation de l’ensemble des professionnels, direction, moniteurs d’atelier et éducateurs, ont facilité l’organisation d’un tel projet désormais inscrit dans la vie institutionnelle et suscitant chaque année de nouveaux émules et de nouvelles idées. »
Retrouvez toutes les photos et vidéos sur la page Facebook du Partag'Tour 22.
La vocation du Rotary est de mener des actions concrètes, citoyennes et solidaires. Le club de Saint-Brieuc en donne la preuve en faisant don de matériel de protection contre le Covid aux personnes en situation de précarité travaillant à l’atelier de revalorisation du textile ARTEX implanté à Langueux.
Issus du laboratoire du Closeau, spécialisé dans l’hygiène et la sécurité sanitaire, ce sont au total, 115 boîtes de 50 masques, 48 flacons de 500 ml de solution hydroalcoolique, 3 bidons de 5 litres de SHL, 40 flacons de 250 ml de gel hydroalcoolique et 30 flacons de 250 ml de produit désinfectant qui ont été distribués aux salariés du chantier d’insertion. Une distribution étendue aux personnes accueillies au service des Appartements de Coordination Thérapeutique (ACT) et au Groupe d’Entraide Mutuelle (GEM).
L’action du Rotary club des Côtes d’Armor a pour objectif de soulager financièrement les bénéficiaires. Ses membres viennent aussi en aide aux commerçants indépendants qui doivent acheter le nécessaire pour assurer au quotidien la protection individuelle de leurs clients dans la lutte contre le Covid-19.
De Tréguier à Loudéac, en passant par Saint-Brieuc, les établissements et services de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor ont vibré pour le Tour de France. Une belle cure de jouvence.
Sur le bord de la route, l’attente a été parfois un peu longue pour ne voir le peloton du Tour de France que quelques secondes… Ils ont crié, encouragé, applaudi et même si une fine pluie s’est invitée à la fête, « c’était tout simplement magique ! »
A Saint-Brieuc, Tréguier et Paimpol, les établissements et services de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor sont allés à la rencontre des forçats de la Grande Boucle. « On ne voulait pas laisser passer ça, surtout après des mois et mois de privation dus à la crise sanitaire », indique l’éducatrice d’un groupe présent au sommet de la vieille côte du Gouët à Saint-Brieuc pour saluer le passage des coureurs et du champion du monde français, Julian Alaphilippe.
Dans la foule, il n’y avait pas que les résidents des foyers. Bon nombre de jeunes et adultes, accompagnés de leurs parents, se sont massés le long du parcours, sur les bas-côtés ou encore sur le haut des fossés. Juste pour le simple plaisir de participer à la fête et de vibrer ensemble, loin des confinements et du coronavirus. Le dimanche dans les rues de cité briochine, « il y avait une sacrée ambiance pour la deuxième étape ! » témoigne Gilles, jeune retraité d’esatco Saint-Brieuc.
Le lendemain, Pontivy a également vu la vie en jaune. La capitale centre-bretonne accueillait, pour la première fois, une arrivée d’étape du Tour de France. Une grande première très attendue à laquelle ont assisté les résidents du foyer de vie d’Hémonstoir, tout heureux de vivre le spectacle de la caravane publicitaire avant d’accueillir les échappées puis le peloton des coureurs. Que de bons souvenirs !
Lire aussi : Le foyer d’Hémonstoir affiche les couleurs des Côtes d’Armor
A l’invitation du Conseil départemental, les résidents du foyer de vie d’Hémonstoir ont réalisé des panneaux directionnels en bleu, blanc et vert sur pour fêter l’arrivée de la deuxième étape du Tour de France, le 27 juin, à Mûr-de-Bretagne.
Les Côtes d’Armor, c’est une identité visuelle reconnaissable de tous les Costarmoricains. Trois couleurs qui représentent l’ADN du département : du bleu pour la mer, du blanc pour dessiner le littoral et du vert pour le côté terre.
Alors, pour accueillir comme il se doit les coureurs du Tour de France le 27 juin et faire de la deuxième étape entre Perros-Guirec et Mûr-de-Bretagne, un véritable temps fort, le Conseil départemental a proposé à tous de laisser libre cours à son imagination jusqu’à la date de l’événement.
Des sculptures éphémères, des peintures, des costumes, des créations originales, des ballons, des dessins,… les initiatives n’ont pas manqué et les projets ont germé aux quatre coins du département. A Hémonstoir, près de Loudéac, les résidents du foyer de vie Bel Orient ont réalisé des panneaux sur lesquels ils ont indiqué la direction de la côte de Granit Rose et du lac de Guerlédan, précisant que les Côtes d’Armor, terre de vélo, possédaient un grand champion en la personne de Bernard Hinault, quintuple vainqueur de la Grande Boucle.
L’assemblée générale annuelle de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor aura lieu le vendredi 25 juin 2021 à 15 heures (accueil à partir de 14 h 30), à l'auditorium Le Grand Léjon sur le site du Palais des Congrès de Saint-Brieuc.
L’ordre du jour de l’assemblée générale statutaire :
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter le secrétariat du siège social de l’association, tél. 02 96 62 66 77.
Suivez en direct l'assemblée générale.
Consultez les rapports 2020 en cliquant ici Bilan d'activités 2020
Les élections régionales et départementales auront lieu les 20 et 27 juin 2021. C’est une étape importante pour la citoyenneté et l’expression des personnes en situation de handicap et leurs familles. Depuis mars 2019, toutes peuvent voter.
Voter est un droit pour tous et un devoir citoyen. En votant, chaque citoyen exprime son choix et participe à la vie de sa région et de son département. En lien avec les élections départementales et régionales 2021, différents supports sont à disposition, dont certains sont utiles pour toutes les échéances électorales.
L’Unapei propose des outils d’aide au vote pour les personnes en situation de handicap, tout d’abord une affiche expliquant toutes les étapes le jour du vote : des papiers à fournir jusqu’à la signature du registre. Cette affiche à vocation à être apposées dans tous les bureaux de vote. Elle met aussi en lumière les droits particuliers des citoyens qui souhaitent être aidés pour voter.
En complément, l’Unapei propose un film qui retrace ces mêmes étapes : Je vote ! Élections, mode d'emploi. Comme l’affiche, ce support peut également servir à sensibiliser les assesseurs sur les droits spécifiques des personnes en situation de handicap.
Au lendemain du passage du Tour de France dans les Côtes d’Armor, huit adultes du foyer de vie et du SATRA de Quévert s'élanceront pour un périple de 194 km à vélo qui les conduira de Lamballe à Hennebont. Rendez-vous du 29 juin au 2 juillet 2021 !
L’an dernier, ils avaient parcouru 150 kilomètres à vélo, entre Quévert et Loudéac, en empruntant les petites routes de campagne et les voies vertes des Côtes d’Armor. Cette année, les résidents du foyer de vie Les Grands Rochers repartent pour une nouvelle aventure et allongent la distance avec un parcours de 194 km à travers la Bretagne. Départ le 29 juin aux portes de l’ESAT de Lamballe et arrivée prévue le 2 juillet à Hennebont, dans le sud du Morbihan, soit quatre jours à pédaler et un beau défi à relever.
« Chaque année, les personnes repoussent un peu plus leurs limites, témoigne Loïc Baron, le papa de Maxime accueilli au foyer de Quévert, qui accompagnera le groupe aux côtés de deux autres parents. Mon fils est habitué à rouler. Ses camarades du foyer l’ont vu réaliser de longs parcours comme le Maxim’Tour de France. Ils se sont dit : « Maxime l’a fait, pourquoi pas nous ? »
Plus encore, cette expérience sportive donne la possibilité aux participants « d’être reconnus et valorisés en lien avec leur projet personnalisé, précise l'équipe des éducateurs. Leur implication est présente et nécessaire tout au long du projet, elle favorise les interactions sociales. Cette aventure collective contribue, une fois de plus, à valoriser sur le territoire, les personnes porteuses de handicap en montrant leur capacité d’adaptation et leur volonté dans cet exploit. »
Une aventure à suivre sur Facebook
Toujours aussi motivés, les quatre résidents du foyer de vie et les quatre personnes accompagnées au SATRA de Quévert profitent de l’arrivée des beaux jours pour effectuer de longues sorties aux côtés de leurs éducateurs qui, eux aussi, se préparent physiquement au rendez-vous. Trois d’entre eux seront de l’aventure et se relaieront sur un tandem et aussi sur un triporteur, grande nouveauté de cette édition 2021.
Financé par la section parents de Dinan-Lamballe, ce vélo pousseur permettra à Gaëtan de participer au défi. « On espère être accompagné par les résidents et encadrants des autres sites de l’Adapei-Nouelles Côtes d'Armor », indique Loïc Baron qui tient à remercier le club des cyclos de Lamballe qui a délégué 4 à 5 personnes pour sécuriser le passage des participants lors de la première étape jusqu’à Bosméléac.
Bien plus qu’un défi sportif, ce périple à vélo est « une belle aventure humaine » que chacun pourra suivre au jour le jour sur la page Facebook de l’organisation (Le Partag’Tour 22) avec des photos et des vidéos postées en direct et un résumé de l’étape en soirée.
Le programme
Mardi 29 juin 2021, étape 1 : Lamballe - Bosméléac (50 km)
Mercredi 30 juin, étape 2 : Bosméléac - Cléguérec (56 km)
Jeudi 1er juillet, étape 3 : Cléguérec - Quistinic (53 km)
Vendredi 2 juillet, étape 4 : Quistinic - Hennebont (33 km)
Un groupe de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor a embarqué sur le catamaran d’Émeraude Voile Solidaire pour une journée de navigation inoubliable marquée par la 600e sortie en mer d’Ephata.
C’est un chiffre rond qui en dit long sur l’implication et l’investissement des bénévoles d’Émeraude Voile Solidaire. Le 25 mai dernier, Ephata, le catamaran de l’association dinardaise, a franchi un cap symbolique en effectuant sa 600e sortie en mer ! Chaque année depuis 2012, Émeraude Voile Solidaire propose une journée de navigation à des personnes en situation de handicap ou en difficulté sociale. « Notre message Larguer nos différences est une sensibilisation au handicap, rappelle Franck Le Nan, président d’une association créée par l’homme d’affaires Yann Bucaille, fondateur des Cafés Joyeux à Rennes et Paris. Le but est d’apporter un soutien moral à ces personnes, de la gaieté et de l’écoute. »
Pour sa 600e balade en mer, Ephata a accueilli des personnes du SAMSAH de Saint-Brieuc, du SAVS et des ACT de Dinan, suivies par le pôle de coordination et d’accompagnement de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor. Un moment privilégié en ce jour anniversaire, un moment d’évasion et de partage apprécié de tous. « Cette journée à bord d’un bateau a été une première pour beaucoup d’entre eux, témoigne Hélène Martin, infirmière référente du groupe. Une journée très attendue car c’était notre première sortie en extérieur depuis un an ! »
Marins d’un jour, les adultes de l’Adapei-Nouelles ont suivi les consignes du capitaine de bord, mis le cap sur les Ébihens et ont eu la chance de croiser la route de quelques dauphins. « Les périodes de confinement ont été douloureuses pour les plus fragiles et beaucoup ont eu du mal à comprendre ce qui se passait et à accepter un isolement forcé, confie Guillaume Covat, skipper d’Ephata. Nous sommes très heureux de pouvoir offrir à ces personnes une journée en mer pour que chacun puisse oublier ses souffrances et découvrir de nouvelles sensations. »
98 points sur 100 ! C’est la note obtenue par l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor à l’index de l’égalité professionnelle femmes-hommes pour l’année 2020. Un résultat identique à celui de 2019.
En 2019, le gouvernement a mis en place un « index de l’égalité professionnelle » destiné à mesurer et à supprimer les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes. Pour calculer cet index, chaque entreprise doit prendre en compte différents indicateurs portant sur les écarts de salaires au même poste et au même âge, les chances d’obtenir une augmentation et une promotion pour une femme, le rattrapage salarial pour les femmes après un congé maternité, le nombre de femmes parmi les plus hautes rémunérations de l’entreprise.
Le calcul de chaque indicateur, selon une méthode définie par décret, aboutit à un nombre de points et à une note comprise entre 0 et 100, correspondant au niveau d'implication de l’entreprise dans la réduction des inégalités.
Comme l’an dernier, l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor obtient une note 98 points sur 100. Preuve d’une forte implication et d’un engagement durable de l’association en matière de lutte contre les discriminations.
Les résultats par indicateur à l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor pour l’année 2020 :
Grâce au dispositif « Répit et bien-être » mis en place par l’Unapei, des personnes accompagnées au SAVS et au foyer d'hébergement de Guingamp ont bénéficié de soins socio-esthétiques. Une pratique qui a permis de porter un nouveau regard sur soi et d’effacer les stigmates physiques et psychologiques engendrés par la crise sanitaire.
Le constat
Les périodes de confinement et de déconfinement, les contraintes liées au respect des protocoles sanitaires mais aussi la mise en place des gestes barrières ont pour de nombreuses personnes en situation de handicap, engendré une perte de repères, de l’incompréhension, de l’anxiété, du stress, de la déprime, de la fatigue,… Des conditions de vie néfastes rendant la vie quotidienne difficile avec parfois des conséquences sur le plan physique (tensions musculaires, difficultés de sommeil, problèmes gastro-intestinaux), psychologique et émotionnel (sentiment d’inquiétude et d’insécurité avec le virus) et comportemental (irratibilité, pleurs, évitement des personnes extérieures, isolement). Le manque de relations sociales a souvent entraîné une diminution de l’attention à soi, voire une dégradation de l’image de soi.
L’initiative
Soucieuse de la qualité de vie des personnes accompagnées, l’Unapei a initié un dispositif national « Répit et bien-être : se réapproprier son corps ». Avec l’appui de partenaires reconnus pour leur expertise, ce dispositif a permis aux personnes en situation de handicap et à leurs familles de bénéficier gracieusement de séances d’activités physiques adaptées et de soins socio-esthétiques. Un programme en grande partie financé par le Fonds d’urgence Covid-19.
L’action
Au sein de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, cinq personnes accompagnées par le SAVS de Guingamp ont bénéficié de quatre séances individuelles de soins socio-esthétiques. Prodigués par Valérie Lorant-Guerre, socio-esthéticienne, ces soins (massage du dos et des jambes, réflexologie plantaire) ont permis d’offrir un moment de répit privilégié pour se recentrer sur soi, retrouver une estime de soi, une sensation de mieux-être. Dix résidents du foyer d'hébergement de Guingamp ont quant à eux participé à trois séances collectives d'automassage pour apprendre à se détendre. A travers cette pratique, l’expression « Prenez soin de vous », tant utilisée en ces temps de crise sanitaire, prend ici tout son sens.
La satisfaction
Les personnes ayant participé à chacune des séances ont apprécié les soins socio-esthétiques. Ils ont tous exprimé leur satisfaction et confié que cela les avait beaucoup aidés dans un contexte de crise sanitaire et sociale. Voici les extraits des commentaires recueillis par Clothilde Morin, assistante sociale du SAVS : « C’était agréable » ; « On arrive à se parler » ; « L’ambiance est bonne » ; « Ça fait du bien » ; « Prendre son temps pour prendre soin de soi » ; « Quand on sort de la séance, on est bien » ; « Ça m’a beaucoup aidé, ça m’a permis de voir autre chose et de trouver quelqu’un à qui parler ».