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Délégué général de l’association Culture Relax, Amar Nafa a accordé une interview à l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, à l’occasion de la première représentation inclusive organisée au Théâtre Mogador à Paris.
Comment est née Culture Relax ?
Cette association a été créée il y a vingt ans en 2005 sous le nom de Ciné ma-différence à l’initiative de parents concernés par le handicap de leurs enfants. Ces parents se sont rendus compte qu’il était compliqué pour leurs enfants de se rendre au cinéma comme et avec tout le monde. Et qu’ils attiraient même des regards de pitié, ou d’agressivité de la part des autres spectateurs. Ils ont eu l’idée de créer des séances avec des codes assouplis. Des séances inclusives au cours desquelles chacun peut s’exprimer à sa façon, vocaliser ses émotions, entrer et sortir de la salle comme il le souhaite, avec une équipe d’accueil présente pour informer l’ensemble des spectateurs et accompagner les personnes en fonction de leurs besoins. Après des débuts au cinéma, nous avons connu nos premières expériences dans le spectacle vivant en 2018 avec le Dispositif Relax tel qu’il existe aujourd’hui.
Qu’entendez-vous par spectacle vivant ?
Il s’agit aussi bien des concerts classiques, des opéras, des pièces de théâtre, des spectacles de danse que des comédies musicales. L’objectif est de donner accès au plus large éventail d’offres pour que chacun puisse faire son choix en fonction de ses goûts, de ses appétences, comme tout à chacun.
Quel est le public concerné ?
Nous proposons des aménagements qui touchent un public le plus large possible, principalement des personnes autistes, polyhandicapées avec déficience intellectuelle mais aussi des personnes avec un handicap psychique ou avec une maladie neurodégénérative comme la maladie d’Alzheimer.
Quelle est votre démarche ?
Nous accompagnons les établissements culturels sur la durée pour qu’à terme, ils soient totalement autonomes dans la proposition de ces représentations Relax. A l’image du Théâtre Mogador à Paris qui nous a contactés pour étoffer son accessibilité et mettre en place des représentations inclusives. La première du genre a eu lieu le 10 janvier 2025.
Comment s'organise l’accueil et l’accompagnement du public concerné ?
Nous mettons à disposition des personnels renforcés sur les représentations Relax. Des personnes formées à l’accessibilité et à l’accueil des personnes en situation de handicap. Elles sont présentes du début à la fin pour faire en sorte que leur soirée soit la plus fluide et la plus agréable possible. Des aménagements sont proposés comme l’espace détente ouvert aux personnes pour leur éviter d’être dans le bruit avant la représentation et pendant l’entracte. En cas d’un trop plein d’émotions durant le spectacle, les personnes peuvent s’y rendre. Des outils de communication sont également mis à disposition. Des documents traduits en FALC qui présentent le spectacle, son histoire et ses personnages.
Et pendant le spectacle ?
Les agents sont présents en salle. Ils sont reconnaissables par un badge rose et disponibles en cas de besoin pour accompagner une personne qui souhaite quitter la salle, temporairement ou définitivement. Il n’est pas question de rester à coté de la personne toute la séance, cela se fait à la demande.
Quels sont vos objectifs pour l'année 2025 ?
L’idée est de développer et d’essaimer ce dispositif. Pour l’instant, nous sommes à 30 établissements partenaires en France dont le Théâtre National de Bretagne (TNB) à Rennes. Nous sommes avant tout une association et nous travaillons avec les ressources qui sont les nôtres. Culture Relax fait au mieux pour offrir une solution de proximité au public.
A lire aussi : Quatre jeunes de l'IME de Minihy-Tréguier au théâtre Mogador en mode Relax - ADAPEI
Les spectacles Relax proposent un environnement bienveillant et détendu où chacun peut vivre ses émotions à sa manière, sans crainte, ni contrainte. Quatre jeunes de l’IME de Minihy-Tréguier en ont fait l’expérience en assistant à la comédie musicale primée de Disney, Le Roi Lion, au Théâtre Mogador à Paris. Du pur bonheur !
Confortablement installés dans l’espace détente du majestueux Théâtre Mogador, ils attendent patiemment le début du spectacle Le Roi Lion. A l’écart du bruit et du public qui grouille dans le hall d’accueil, Léa s’amuse avec un sablier bleu, Noa se joue d’un pop-it en appuyant sur des bulles colorées, tandis qu’Aerwann et Laly parcourent le livret de présentation de la comédie musicale traduit en Facile à lire et à comprendre (FALC), aux côtés des quatre éducatrices qui les accompagnent.
Cette représentation inclusive, labellisée Relax, est la première du genre organisée au Théâtre Mogador. Spécialement adaptée aux personnes dont le handicap (autisme, polyhandicap, déficience intellectuelle, handicap cognitif ou psychique) peut entraîner des comportements atypiques comme parler fort, rire, applaudir, bouger… Un concept né en 2005 sous l’appellation Ciné-ma différence avant de devenir Culture Relax (lire l’interview d’Amar Nefa, délégué général) et soutenu par le pianiste Alexandre Tharaud, parrain du colloque autisme de Saint-Brieuc organisé par l'Adapei-Nouelles Côtes d'Armor.
Lever les freins de l'accessibilité
Il est 20 heures et les quatre jeunes de l’IME de Minihy-Tréguier sont invités à prendre place à l'étage de la grande salle. Un espace où les codes traditionnels sont assouplis avec des sons abaissés et des lumières beaucoup moins vives qu’à l’ordinaire. Ainsi, chacun va pouvoir vivre ses émotions sans crainte et profiter pleinement du spectacle musical, en présence des bénévoles de l’association Culture Relax qui resteront dans la salle durant toute la séance, prêts à intervenir pour accompagner un des jeunes, répondre à une question, apaiser une angoisse si besoin.
A chaque scène, les jeunes sont fascinés par la beauté des décors, des costumes et de la mise en scène d'un spectacle qui conte l’histoire émouvante de Simba et sa conquête de la Terre des Lions. Le bonheur d'être là, de vivre ce moment inoubliable, se lit sur les visages. Pour cette première soirée inclusive, « le pari est réussi », se félicite Laurent Bentata, directeur et producteur de Mogador dont « la politique est d’ouvrir le théâtre à tous et de lever les freins de l’accessibilité ». Une deuxième représentation Relax est programmée le 29 mars 2025. Nombreux sont ceux qui ont déjà réservé leur date. Parmi eux, un groupe d’adultes du foyer de vie Les Nymphéas de Lannion, prêt à rugir de plaisir lui aussi. En mode Relax.
A lire aussi : Amar Nafa : « Rendre la culture accessible à tous ! » - ADAPEI
Joseph Thomas, c’était une voix, une gouaille, un sourire. Le trésorier de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor nous a quittés le 20 février à l’âge de 74 ans. « Il avait rejoint l’association et le mouvement Unapei en 1989 avant de s’investir dans le Conseil d’administration au début des années 2000 et d’entrer au Bureau en 2004, retrace Christian Vincent, président de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor. Avec Jean Francès et Jean Ropars, il a porté la vie de nos établissements et services sur le territoire de Guingamp, au travers notamment d’événements festifs avec pour seul objectif, l’amélioration du quotidien des personnes accompagnées. »
Christian Vincent salue le parcours d’un parent bénévole aux engagements multiples et à l’agenda toujours bien rempli, en tant que trésorier de l’association des familles d’enfants handicapés de La Poste, membre du centre intercommunal d’action sociale (CIAS) de l’agglomération Guingamp-Paimpol et membre de l’association des usagers de l’hôpital de Guingamp.
« Je garde le souvenir ému d’un engagement sans faille, d’une disponibilité inépuisable et surtout d’un homme constructif, ingénieux et toujours à l’écoute des autres, souligne Frédéric Gloro, directeur général de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor. Notre association est un fin maillage entre le bénévolat et le professionnalisme. Joseph a toujours su, naturellement, se situer dans un rôle pas toujours évident de parent engagé pour la cause et la juste place des personnes en situation de handicap. »
Confrontée à des enjeux de formation des personnels et d’accompagnement de personnes en situation de handicap, Blanc Aéro technologies, filiale de Lisi Aérospace, a noué un partenariat avec esatco Côtes d’Armor visant à renforcer les compétences des personnes en situation de handicap et à favoriser leur intégration dans le milieu professionnel.
A l’heure où la responsabilité sociétale et l’inclusion occupent une place essentielle dans le monde de l’entreprise, Blanc Aéro technologies, usine de référence en solutions de fixations aéronautiques haute technologie, réaffirme son engagement en faveur de l’intégration des personnes en situation de handicap dans le milieu professionnel, en signant une convention d’objectifs partagés avec esatco Côtes d’Armor.
Ce partenariat prévoit la mise en place de formations et de sensibilisation à destination des équipes de Blanc Aéro technologies visant à déconstruire les stéréotypes liés au handicap et à renforcer leurs compétences dans l’accompagnement des personnes.
Dans le cadre de cette collaboration, l’entreprise basée à Plérin, près de Saint-Brieuc, s’engage à confier des missions adaptées aux structures esatco afin de permettre à des personnes en situation de handicap de contribuer à des activités professionnelles dans leur cadre de travail.
Des programmes d’immersion
Dans le domaine de la sous-traitance industrielle et de la logistique, la filiale de Lisi Aérospace s’engage à mobiliser des personnes des structures esatco pour réaliser des tâches simples ou répétitives, telles que l’assemblage d’éléments, le tri ou le conditionnement de pièces industriels, ou encore des contrôles qualité simples. Elle s’engage également à faire appel aux équipes de la marque esatco pour l’entretien de ses espaces verts (tonte, taille des haies, aménagement paysager entre autres). Autant de prestations qui facilitent l’insertion professionnelle, en offrant aux personnes en situation de handicap des opportunités de travail adaptées.
Enfin, Blanc Aéro technologies souhaite favoriser l’insertion professionnelle de ces personnes en mettant en place des programmes d’immersion qui permettront aux professionnels ESAT de découvrir l’environnement de travail de l’entreprise costarmoricaine à travers des périodes de mise en situation professionnelle ou des périodes d’observation, des périodes de prestations de services en entreprise ou de mise à disposition.
Les signataires de la convention de partenariat
Morgan Donval, directeur production esatco Côtes d’Armor (à gauche), et Louis Cartier, directeur de l’usine Blanc Aéro technologies Plérin. En présence de Pauline Verdes, responsable RH de Blanc Aéro technologies Plérin, et Régis Bertrand, directeur adjoint esatco site du pays de Guingamp.
97 points sur 100 : c’est la note générale obtenue par l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor à l'index de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes pour l’année 2024.
Conformément à la loi Avenir professionnel de 2018, les entreprises françaises de plus de 50 salariés sont tenues de calculer et publier, chaque année, leur index de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Grâce à cet index, elles peuvent ainsi mesurer les écarts de rémunération, de taux de promotion ou d'augmentation entre les sexes et mettre en lumière les disparités. Sur la base des résultats obtenus, les entreprises doivent mettre en évidence les points de progression sur lesquels elles peuvent agir pour faire progresser l’égalité professionnelle.
Les points par indicateur obtenus par l'Adapei-Nouelles Côtes d'Armor pour l'année 2024 :
Avec une note générale de 97 sur 100, l'Adapei-Nouelles Côtes d'Armor se positionne nettement au-dessus de la moyenne nationale. En France, la moyenne déclarée par les entreprises en 2024 se maintient à 88/100 soit une hausse de quatre points depuis 2020, selon les chiffres officiels du gouvernement.
Consultez les résultats
Médecin chef au Centre hospitalier universitaire du canton de Vaud (CHUV) en Suisse, Vincent Guinchat interviendra lors du colloque sur l’autisme organisé par l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, les 1er et 2 avril 2025, à Saint-Brieuc. Il présentera les dispositifs sanitaires mis en place en réponse aux situations de crises pour adultes avec déficience intellectuelle sévère.
Après avoir créé l’Unité sanitaire interdépartementale d’accueil sanitaire d’Urgence (USIDATU) au sein de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, le Dr Vincent Guinchat a rejoint en 2018 le canton de Vaud, près de Lausanne, pour diriger la section de psychiatrie du développement mental du CHUV, l’un des cinq hôpitaux universitaires suisses en pointe dans les domaines des soins médicaux, de la recherche médicale et de la formation.
Le Dr Vincent Guinchat est aujourd’hui à la tête d’une équipe spécialisée dans les troubles psychiatriques liés au handicap mental adultes qui intervient auprès de personnes avec déficience intellectuelle, avec ou sans TSA, ayant des troubles graves du comportement. « Depuis mon arrivée, on a mis en place une unité d’hospitalisation sur le même principe que l’USITADU, indique le médecin cadre. Elle s’articule autour d’unités mobiles qui interviennent dans toutes les structures pour prévenir les risques de désinsertion, d’exclusion et de marginalisation. »
Des réponses médicales ou éducatives
Los du colloque de Saint-Brieuc, le Dr Vincent Guinchat évoquera également l’Unité psychiatrique de crise dévolue à la gestion somatique et psychiatrique des situations de crise chez les personnes porteuses d’une déficience intellectuelle sévère et d’un trouble du spectre autistique, qui habitent le canton de Vaud. « Je présenterai un panorama de l’ensemble des dispositifs et des outils mis en place pour accompagner ces situations complexes avec des réponses autour de l’accès aux ressources, médicales ou éducatives, avec des réponses de coordination de réseau en fonction des différentes situations qui se présentent. Je parlerai également des spécificités juridiques du canton de Vaud qui interdit l’utilisation des mesures de contraintes à l’égard de personnes fréquentant l’un de nos établissements socio-éducatifs ».
Consultez le programme et inscrivez-vous au colloque autisme 2025
L'an dernier, l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor avait lancé l’opération Vis mon job, une initiative qui invite les salariés à rejoindre un autre établissement de l'association pour se plonger dans le quotidien de leurs collègues. Rendez-vous est pris pour la deuxième édition, le jeudi 19 juin 2025.
A l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, la diversité des métiers est une richesse. Avec l’opération Vis mon job, chaque salarié a la possibilité, le temps d’une journée, de découvrir un métier dans un autre établissement de l'association, quel que soit le secteur d’activité. Une immersion professionnelle riche en échanges, essentielle pour renforcer les liens entre salariés, la compréhension entre métiers et la cohésion entre services.
De l’IME à la MAS, en passant par les services administratifs et les ateliers de production en ESAT ou en Entreprise Adaptée, la journée du 19 juin 2025 est une belle opportunité pour chacun d’enrichir ses connaissances, de partager les bonnes pratiques, de se confronter à la réalité d’un métier au quotidien.
Pour participer à l’opération Vis mon job, chaque salarié doit obligatoirement s’inscrire jusqu'au 25 avril (limité à 50) en remplissant le formulaire de demande fourni par le secrétariat de son établissement ou service. Les frais de déplacement sont totalement pris en charge.
En savoir plus sur VisMonJob#2 : contacter le service RH du siège de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor à Plérin : 02 96 62 81 81 ou servicerh@adapei-nouelles.fr
Combien de fois vous brossez-vous les dents ? Et à quel moment de la journée ? Après le petit-déjeuner, le repas du midi ou après celui du soir ? Quel dentifrice utilisez-vous ? Buvez-vous beaucoup de coca et de soda ? Mangez-vous des bonbons avant de vous coucher ? Ce sont quelques-unes des questions posées par Jean-Pierre Guivarch et Sergine Masson aux jeunes de l’IME de Minihy-Tréguier afin d’évaluer leur hygiène bucco-dentaire.
Après les foyers de vie de Lannion et Quévert, le foyer d’hébergement de Tréguier et l’IME de Loudéac, les deux parents bénévoles de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, ancien dentiste et infirmière, ont animé une séance de sensibilisation et de prévention dans l’un des établissements du Dispositif enfance du Trégor, en prenant le soin de rappeler quelques fondamentaux : se laver les dents deux fois par jour (matin et soir) pendant deux minutes avec une brosse souple en bon état et du dentifrice contenant du fluor ou encore effectuer une visite chez le dentiste une fois par an pour diagnostiquer une éventuelle carie ou une maladie de la gencive, complétée par un détartrage si nécessaire.
Une projection de photos et de vidéos ludiques a permis aux jeunes d’apprendre à choisir le bon dentifrice, à bien utiliser la brosse à dents qu’elle soit manuelle ou électrique, à adopter le bon geste.
Entretenir son hygiène bucco-dentaire, c’est le gage d’une bouche en bonne santé !
Dans le cadre du déploiement du plan national de création des 50 000 solutions et de transformation de l’offre médico-sociale 2024-2030, François Négrier, directeur départemental de l’ARS, s’est rendu au foyer de vie Les Nymphéas à Lannion pour officialiser la médicalisation de deux nouvelles places financées à hauteur de 60 000€ qui s’est traduit par l’embauche d’une infirmière coordinatrice.
François Négrier, directeur départemental de l’ARS : « Cette médicalisation correspondant à une volonté politique qui vise à créer de nouvelles réponses adaptées aux besoins des personnes en situation de handicap. Elle répond à des enjeux de santé pour des personnes qui ont besoin de soins, a déclaré le directeur de l’ARS Côtes d’Armor. Ce n’est pas une réponse unique. Le travail s’effectue en partenariat avec l’hôpital, les structures du sanitaire et les médecins de ville. Au foyer de Lannion, la prise en charge est assurée au sein même de l’établissement en coordination avec les acteurs de terrain ».
Frédéric Gloro, directeur général de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor : « Il ne s’agit pas d’une création mais bien d’une médicalisation de places. Ces deux places bénéficient aujourd’hui à l’ensemble de l’établissement et non pas seulement à deux personnes Elles répondent à des besoins d’accompagnement spécifiques liés à une population de près de 50 résidents, âgés de 20 à 60 ans. A l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor, nous n’avons pas de médecin généraliste. Notre défi est bien de rendre accessible la médecine générale et les autres professions libérales aux personnes en situation de handicap ».
Agnès Cornillat, infirmière coordinatrice du foyer Les Nymphéas : « Notre mission est de coordonner les projets de santé des résidents, de leur faciliter l’accès aux soins, de mettre en place des dispositifs de prévention et d’écoute. Nous souhaitons également déployer un suivi orthophoniste et un bilan déglutition pour éviter les fausses routes ».
Les Nymphéas en quelques chiffres