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Cuisinier-pâtissier à esatco Dinan, Gaëtan Amelot a décroché son billet pour la finale régionale du concours gastronomique Sodexo « Un pour tous, tous pour un », le 9 novembre, à Orvault en Loire-Atlantique.
« Les desserts en trompe l’œil ». C’est le thème de l’édition 2022 du concours national de pâtisserie « Un pour tous, tous pour un ». Depuis sa création en 1998, ce concours gastronomique vise à développer l’autonomie de la personne en situation de handicap qui concourt avec son accompagnateur au quotidien et un chef cuisinier de Sodexo.
Réunis le 20 octobre au lycée hôtelier de La Guerche-de-Bretagne, quatre équipes de l’Ouest se sont affrontées lors de la demi-finale régionale. L’objectif : cuisiner, en deux heures et dans les conditions de la restauration collective, une recette personnelle autour du thème imposé. Imaginer une recette, sélectionner les ingrédients, cuisiner, gérer les cuissons et dresser les assiettes… Autant d’opportunités pour permettre aux personnes d’exprimer leurs envies, développer leur concentration et montrer leur talent.
Saveur gustative et originalité
Lors de cette séance de deux heures, les équipes sont notées sur l'accompagnement de la personne en situation de handicap, la cohérence avec le thème, la saveur gustative, l’originalité ainsi que la mise en scène et enfin le respect des règles d'hygiène et de sécurité alimentaire.
Pour cette 24e édition, Gaëtan Amelot, cuisinier-pâtissier à esatco Dinan, accompagné de Gilles Pichon (encadrant) et Jean-Pierre Hellequin (référent Sodexo), décroche la palme grâce à des « sushis sans soucis » faits de « crêpe bretonne noire » et de fruits. Même bonheur pour Jean-Baptiste du foyer Comenius des Genêts d’Or à Landivisiau, invité, lui aussi, à se présenter à la finale régionale, le 9 novembre, à Orvault en Loire-Atlantique.
La grande finale nationale aura lieu le 1er décembre à l'école des arts culinaires Lenôtre à Paris. Le dessert de l'équipe gagnante intègrera les menus servis au sein des 1100 établissements médico-sociaux gérés par Sodexo.
Le dimanche 6 novembre au matin, plusieurs centaines de coureurs et de marcheurs s’élanceront sur les 13 kilomètres de la mythique course de l’Ours qui relie le port de Tréguier, au château de La Roche-Jagu à Ploézal. N’attendez plus, inscrivez-vous !
Le top départ sera donné au port de Tréguier qui donne sur la rivière du Jaudy. Tu allongeras tes premières foulées sur le Pont Canada, et t’en iras en pleine nature sur les hauteurs de Trédarzec. Cap ensuite sur Pouloudran, où tu pourras profiter des encouragements des riverains ainsi que des musiques bretonnes entêtantes. Tu longeras ensuite le ruisseau du Bizien dans un cadre champêtre et verdoyant. Après ça, place à une portion qui te réservera des chemins de forêt, notamment au cœur du Bois de Boloï, et peut-être même un peu de boue, en fonction de la météo !
La fin de ton parcours approche, mais attention, la côte de la Palmeraie t’attendra de pied ferme pour pimenter les derniers kilomètres ! Ploëzal s’approche doucement, et la ligne d’arrivée aussi : le château de La Roche Jagu se dressera fièrement devant toi, pour une arrivée grandiose !
Pratique. Départ de la course de l’Ours (13 km, 310 m D+), le dimanche 6 novembre 2022, sur les quais à Tréguier : 8 h 30 pour les marcheurs (5 €) ; 10 h 30 pour les coureurs (10 €). Concours de déguisement avec des récompenses aux trois meilleurs. Les bénéfices de la journée seront reversés à la section parents du Trégor Goëlo puis à l’IME Ker an heol de Minihy-Tréguier. Inscriptions jusqu’au 4 novembre.
Dans le cadre du mois de l'accessibilité organisé par les Médiathèques de la Baie, le court-métrage Ya Basta sera projeté le mercredi 26 octobre à la bibliothèque Daniel-Pennac à Saint-Brieuc, en présence du producteur Laurent Galmot.
Leur ESAT s’apprête à fermer ses portes. Deux travailleurs aidés par leurs éducateurs mettent tout en œuvre pour le sauver et réalisent le hold-up du siècle. Avec leurs talents respectifs, ils vont réussir à voler, en plein jour, lors d'une exposition, des bijoux d'une valeur inestimable. Avec l'argent, ils décident finalement se la couler douce au soleil. Enfin presque…
A la fois drôle et émouvant, le court-métrage Ya Basta réalisé par Gustave Kervern et Sébastien Rost, avec notamment les acteurs Yolande Moreau et Jean-Pierre Darroussin, sera projeté le mercredi 26 octobre, à la bibliothèque Daniel-Pennac de Saint-Brieuc dans le cadre du Mois de l’accessibilité. Chacune des deux séances proposées sera suivie d’un débat avec les portes paroles du projet, Isabelle Ferron, psychologue et Laurent Galmot, initiateur et producteur du film défendant l’idée qu’il faut « aller à la rencontre du public dans les salles pour que le regard de la société sur les personnes en situation de handicap change ».
Pratique. Projection du court-métrage Ya Basta, le mercredi 26 octobre 2022, à 15h30 puis à 18h30, à la bibliothèque Daniel-Pennac, 3 rue des Champs-aux-Ducs, quartier de Cesson, à Saint-Brieuc. Exposition de 50 photos du tournage et de portraits de tous les acteurs de l'aventure dans les locaux de la bibliothèque. Renseignements et réservations au 02 96 68 10 58. Gratuit.
« Une brioche, ça vous dit ? Faites un geste pour les personnes en situation de handicap de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor ! » Sur les marchés, dans les grands magasins et les centres commerciaux du département, les bénévoles de l’association ont donné de la voix pour l’Opération brioches 2022. De Lannion à Dinan, en passant par Lamballe, Saint-Brieuc, Guingamp, Tréguier, Paimpol et Loudéac, les stands ont rencontré un beau succès avec plus de 11 000 brioches vendues ! Tour d’horizon en images.
Du changement au siège de l’association. Philippe Estienne quitte ses fonctions de directeur développement qualité et devient directeur stratégie, innovation et patrimoine. Il transmet le flambeau à Jérôme Thouvenin, nommé à la tête du service qualité, hygiène, sécurité et environnement (QHSE). Entretien croisé.
Pourquoi cette réorganisation au siège de l’association ?
Philippe Estienne : Le départ à la retraite de Denis Hamayon (ex-directeur général adjoint) en juin dernier a été l’occasion de repenser les missions de certains cadres du siège de l’association, et en particulier, tout ce qui touche à la qualité, à l’accompagnement et au patrimoine. Nous avons réparti les tâches de travail avec désormais deux directions bien distinctes.
Jérôme Thouvenin : L’activité de nos missions respectives est tellement dense qu’elle ne pouvait être portée par une seule et même personne comme auparavant. La direction générale a souhaité les séparer et les renforcer afin que nous soyons au plus près des professionnels et des personnes accompagnées. Cette réorganisation a permis de remettre à plat les fonctions de chacun et d’apporter de la cohérence dans toutes les actions.
Quelle est la mission de chacun aujourd’hui ?
P. E. : Mon rôle consiste à développer la stratégie de développement de l’association, tout en restant en veille sur l’évolution des modes d’accompagnement, des politiques publiques et de toute l’actualité de notre secteur. Mon travail est d’inscrire l’association dans une démarche de recherche participative et accompagner nos réflexions et évolutions d’une démarche éthique.
J. T. : Ma mission est d’accompagner l’ensemble des professionnels et de mettre en place une organisation favorisant la mise en œuvre du projet associatif. Cela se traduit par le pilotage et l’animation des acteurs clés de la démarche qualité intégrale que sont les managers, les intervenants internes et les préventeurs. A travers une méthodologie du management socio-économique, le travail consiste à garantir la meilleure qualité d’accompagnement pour les personnes. Pour cela, il faut que le fonctionnement soit de qualité ! Le levier, c’est le management des équipes dans les établissements et services. Concrètement, cela passe par le renforcement des comités de pilotage qualité qui, désormais, auront lieu en grand partie sur chacun des sites, au plus près du terrain. Des réunions auxquelles je participerai. Le but est de redonner les clés du pilotage aux directions, d’asseoir les compétences et les champs d’intervention des intervenants internes et des préventeurs.
Quels sont les projets sur lesquels vous allez travailler d’ici fin 2023 ?
P. E. : Les projets à venir sont nombreux. En résumé, il s’agit de mettre en place une formation sur l’autodétermination à destination des quatre piliers du projet associatif (personnes accompagnées, familles/fratries, professionnels et partenaires), accompagner la réalisation d’un site internet ressources pour les personnes accompagnées et leurs aidants, participer à l’élaboration d’un plan de communication interne et externe pour notre projet associatif, accompagner la réalisation d’un plan stratégique avec une déclinaison opérationnelle sur 5 ans, finaliser le plan stratégique de patrimoine et enfin, accompagner l’évolution des projets d’établissements et services lors du 1er semestre 2023.
J. T. : Le premier chantier concerne l’évaluation unique. Depuis mars 2022, le système d’évaluation des établissements médico-sociaux a changé. Nous n’avons plus l’obligation d’une évaluation interne mais l’association souhaite la réaliser en plus de l’évaluation externe réglementaire à effectuer tous les 5 ans. Un référentiel commun sera mis en place, il conditionnera le CPOM et les autorisations d’activité des établissements. Je serai plus particulièrement chargé d’organiser et de gérer le planning de cette évaluation fixée par l’ARS qui débutera en 2023.
Le deuxième chantier est le dossier usager informatisé (DUI). Il convient de se saisir de cet outil pour mettre en place l’harmonisation des grandes étapes des accompagnements et la démarche processus.
Enfin, troisième et dernier grand projet : l’accompagnement au changement. On considère que tous les salariés ont besoin d’outils de management car à un moment donné, ils vont être sur la gestion de projet d’activité ou d’accompagnement du PPA. Ils vont devoir faire du management avec leurs collègues. Mon rôle est donc de mettre en place une organisation favorisante pour bien « outiller » les salariés.
Pour résumer, quelle est la finalité de toutes ces actions ?
P. E. : Toutes les actions ont un but : mettre en synergie le savoir des quatre piliers du projet associatif au service de l’innovation, de l’amélioration et la diversification des prestations proposées aux personnes et de la jouissance de leurs droits. L’ambition de l’association est également de développer le pouvoir d’agir des personnes pour qu’elles puissent prendre toute leur place dans leur environnement en faisant leur propre choix, en prenant des décisions, en étant acteurs de la société.
J. T. : A travers cette démarche et toutes les actions que nous souhaitons mettre en place, il s’agit de proposer aux professionnels un environnement favorable qui vise à renforcer l’implication de tous et à reconnaître leur place dans l’accompagnement des personnes, tout en étant en conformité avec les exigences des politiques publiques et des réglementations en vigueur, en lien avec les valeurs formulées dans le projet associatif. La finalité de toutes ces démarches et l’objectif recherché, c’est la qualité de l’accompagnement ! Pour y parvenir, il est important que nos deux missions se synchronisent avec une plus grande présence sur le terrain.
L’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor a décidé de revaloriser les salaires de quelques 250 professionnels « oubliés du Ségur ». Cette décision validée par le Conseil d’administration a fait l’objet d’un accord d’entreprise signé le 4 octobre avec les partenaires sociaux.
Les mesures nationales du Ségur de la Santé n’étant toujours pas effectives, l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor a décidé d’agir en versant l’indemnité de 238 € bruts (183 € nets par mois) au prorata du temps de travail, à l’ensemble des professionnels de la convention collective CC66 n’ayant pas encore bénéficié des indemnités du Ségur de la Santé, notamment « Laforcade 1 » (novembre 2021) et « Métiers socio-éducatifs » (juillet 2022).
Cette hausse de salaire, appelée indemnité médico-sociale, qui concerne les professionnels en CDI ou CDD, sera visible sur les fiches de paie d’octobre avec effet rétroactif au 1er septembre 2022.
Tous les salariés sur un pied d’égalité
« La gestion saine de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor nous permet aujourd’hui d’envisager cet effort important qui n’est absolument pas compensé financièrement, précisent le directeur général, Frédéric Gloro, et le président, Christian Vincent. Durant ces deux années, nous allons œuvrer collectivement pour optimiser les budgets de l’association. Au cours de l'année 2024, nous ferons un état des lieux pour étudier le devenir de cette extension. »
La décision validée par le Conseil d’administration le 27 septembre dernier a fait l’objet d’un accord d’entreprise qui a été signé le 4 octobre avec les partenaires sociaux, CFDT et SUD Santé Sociaux (photo). « A l’heure de la mise en œuvre du projet associatif, il nous a semblé cohérent d’investir dans nos professionnels, poursuit la direction générale. Les professionnels constituent une grande partie du patrimoine de l’association et à ce titre, il est normal et important que l’ensemble de nos salariés soient sur un pied d’égalité. »
Pomme d’happy, Lagaff game, tir à l’arc, balle bétonne, roue de la fortune… Une dizaine de stands ont animé les Défis de l’ESAT 2022 sur le site esatco de Tréguier où les participants se sont payés une bonne tranche de rires et de détente. Un rendez-vous atypique qui renforce les liens entre encadrants et personnes accompagnées.
« Vas-y Jean-No ! Bien joué, tu marques 25 points ! » Les Défis de l’ESAT viennent à peine de débuter et les Blues Brothers du foyer de vie Les Nymphéas sont déjà dans le match. Au jeu de palets tenu de main de maître par Yvon, animateur hors pair, pas question d’abandonner des points sur le bord du quai. « Il faut être le plus précis possible, réclame David qui encadre son équipe. Prends ton temps et vise le centre. Voilà, c’est super ! » Crayon entre les doigts, Yvon fait les comptes. « 120 points au total les amis. Le score maximum possible est de 155 points. Bravo ! »
Sur le site esatco de Tréguier, ça grouille de joueurs qui se déplacent d’un stand à l’autre avec énergie et enthousiasme. « Les Défis de l’ESAT existent depuis 5 ans, rappelle Angélique, une habituée. C’est un rendez-vous très attendu. L’ambiance est très détendue avec un bel esprit d’équipe. Chacun est déguisé, on s’amuse, on est là pour passer un bon moment tous ensemble. Je travaille à l’entretien des locaux mais aujourd’hui, je joue avec la sous-traitance. C’est une façon d’apprendre à mieux se connaître, d’échanger avec les encadrants et la direction, ce qu’on n’a pas l’habitude de faire en temps normal. »
« Bingo ! On marque 500 points »
Au stand de la balle bétonne, Hervé alias Lucky Luke est en approche. Avec ses amis les Dalton et une valise remplie de lingots, le moniteur JEV qui tire plus vite que son ombre doit lancer la balle dans la bétonnière. « Pas simple de trouver la cible… On fera mieux sur le prochain stand. » A condition d’avoir de la chance, à l’image d’Alexandre qui fait tourner la roue des défis. « Bingo ! On marque 500 points », s’exclame le membre de l’équipe Camping Kernévec, planche de surf à la main et transistor en bandoulière.
Pour la vingtaine d’équipes engagées, la journée est loin d’être terminée. La chasse aux points se poursuit. Avec toujours la même énergie, le même enthousiasme.
L’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor invite l’ensemble des salariés de ses trois dispositifs enfance à une journée pédagogique qui aura lieu le vendredi 21 octobre 2022, Espace Palante, à Hillion. La thématique de cette journée ? Le parcours de l’enfant à l’aune de la transformation de l’offre : regards croisés sur la modularité des accompagnements.
Le programme
A partir de 8h45, accueil Espace Palante, à Hillion, Presqu'île Baie de Saint-Brieuc (plan d'accès)
9h15 - 9h30 Introduction par Frédéric GLORO, directeur général de l’Adapei-Nouelles Côtes d’Armor
9h30 - 10h 15 Les enjeux de la transformation de l’offre du secteur enfance
10h15 - 10h45 L'offre de service du Dispositif enfance associatif : un nouveau process d'admission
10h30 Échanges avec la salle
10h45 Pause
11h20 Regards croisés sur l’accompagnement des parcours : l'évolution des accompagnements favorisant la modularité
Table ronde avec les professionnels des dispositifs enfance territoriaux
12h15 Échanges avec la salle
12h30 - 13h30 Déjeuner sur place
13h30 - 14h Jeu de cohésion interactif
14h - 15h Regards croisés sur l’accompagnement des parcours : l'inclusion scolaire
15h Échanges avec la salle
15h15 - 15h45 Présentation du projet expérimental REFLECTO : un partenariat innovant entre un dispositif enfance et un établissement scolaire
Suivie d’une table ronde entre les acteurs du territoire de Loudéac
15h45 Échanges avec la salle
16h - 16h30 Conclusion de la journée
Plus de 70 exposants ont répondu à l’invitation de l’association des amis et parents du foyer de la Fraternité (APAFF). Record battu ! Les visiteurs ont fait des affaires dans une ambiance conviviale et chaleureuse.
Anaïs, 10 ans, est aux anges ! Elle vient de trouver trois livres de sa collection préférée Le club des cinq. « Pour 5 €, les livres sont en très bon état », constate son papa, un peu soucieux de la place qu'il va falloir pour tout ranger à la maison. « On a déjà acheté un puzzle et une mapppemonde. Je ne sais pas où on va mettre tout ça. Ce qui est sûr, c’est que ce sont de bonnes affaires ! »
Et des bonnes affaires, il y en a eu ce dimanche dans les allées de l’Espace des corsaires à Saint-Laurent-de-la-Mer. C’est le cas de Jeanine venue en voisine, cabas vide sous le bras. « Je chine depuis 25 ans, en quête de pépites, de la perle rare. Il suffit de tomber au bon moment sur la personne qui décide de vider ses placards et c’est gagné ! »
Rémi, lui, a trouvé son bonheur. « J’étais venu pour remplacer ma cocotte-minute qui a lâché. Dès le deuxième stand, j’en ai vu une ! Je suis très content de repartir avec et cela m’a seulement coûté 3 €... »
A deux pas, le sourire rayonne également sur le visage de Jocelyne. Chineuse de cœur, elle a dans sa besace une lampe vintage, un cadre vierge et un marteau pour son mari. « Eh oui, on ne se refait pas. J’adore l’ambiance des vide-greniers. C’est convivial, on discute, on échange avec les vendeurs qui vous parlent de leur quotidien, de leur passion et inversement. C’est l’endroit idéal pour partager des moments d’échange et de fraternité ! »
Que Jocelyne se rassure, elle pourra revenir faire sa chineuse l’an prochain. Roland Le Moignic et toute l’équipe de bénévoles de l’APAFF sont bien décidés à renouveler l’événement. Rendez-vous est pris le dimanche 1er octobre 2023 !
