Votre nouvel intranet sera en ligne ce jeudi !

A très bientôt.

>Accéder aux documents

Actualités



La détente et le relâchement au menu d’une séance de shiatsu

Le Mardi 02 Février 2021 à 16:23       |       Partager    

Praticien de shiatsu, Maxence Pèlegrin a proposé des séances individuelles aux salariés de l’ESAT de Plouisy. Grâce à la pression des doigts, des coudes et des paumes des mains, il soulage les tensions musculaires et aide les fluides énergétiques à mieux circuler dans le corps.

C’est une salle aux murs blanc et vert pâle, dans un bâtiment niché au cœur de la végétation, à l’ESAT de Plouisy. C’est ici que Maxence Pèlegrin, praticien de shiatsu, est venu donner des séances individuelles de cette discipline. « J’ai des gens de mon entourage qui travaillent dans le milieu du médico-social, explique-t-il. Ils ont vécu un passage difficile pendant le confinement. J’ai donc proposé de donner des séances gratuites de shiatsu au personnel de la structure. » Une manière pour lui d’offrir un soutien et de faire découvrir une discipline peu connue, en lien avec la médecine chinoise. À la différence que celle-ci utilise les mains au lieu des aiguilles. « C’est un art énergétique, un art du toucher, qui se pratique toujours en individuel. »

À 10 h 30, Florence Jouan, secrétaire comptable, se présente pour sa séance. « Je ne savais pas ce que c’était, j’ai dû regarder un peu avant. C’est une initiation, ça peut amener du plus pour me détendre. » Aujourd’hui, Maxence a décidé de proposer des séances de 25 à 30 minutes sur une chaise, « au lieu d’une heure, sur futon ». « Comment on se met sur ce truc de torture », s’amuse Florence en s’avançant. Réponse : à genoux, tête posée, après avoir enlevé collier et bracelet. Une musique relaxante avec des chants d’oiseaux et l’atmosphère se fait plus légère.

À Maxence Pèlegrin de détendre dos, épaules, mains, jusqu’au bout des doigts. Tout cela grâce à l’aide de toute la surface de ses mains, jusqu’à son coude. À chaque contact avec le haut du corps de Florence Jouan, c’est tout le corps de Maxence qui est impliqué, allant du balancement des genoux vers l’avant ou au mouvement des épaules.

Cet exercice, notamment axé autour de la respiration, se conclut par plusieurs « tapes » dans le dos. « Ça fait un moment que cela ne m’était pas arrivée d’être aussi détendue, exprime Florence en se relevant. J’ai l’impression d’avoir déposé des valises. »

Publié dans Ouest-France - Photos : Chloé Rebaudo

Pour en savoir plus sur le shiatsu, consultez le site de Maxence Pèlegrin : www.teromeki-shiatsu.fr